FLORA AURIMA DEVATINE Poétesse Figure majeure de la littérature polynésienne DANS L'ANTHOLOGIE POÉTIQUE INTERNATIONALE "FRONTIÈRES" Voix de l'extrême Poésie et Culture Édition au MBONGHI Figure majeure de la littérature polynésienne, née en 1942 à Tautira, dans la presqu’île de Tahiti, de parents métayers, Flora Aurima Devatine a été professeur d’espagnol et de tahitien en lycée et collège enseignant également à l’université française du Pacifique, la langue et la poésie tahitiennes. Elle a dirigé Littérama’ohi , la première revue littéraire polynésienne, fondée en 2002. Son engagement en faveur de la langue rejoint le combat qu’elle mène en direction de la condition féminine et de la culture ma’ohi Publications : Vaitiare, Humeurs (Polytram, 1980), Tergiversations et rêveries de l’écriture orale (Au Vent des îles, 199
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Affichage des articles du février, 2023
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"FRONTIÈRES" L'ANTHOLOGIE POÉTIQUE INTERNATIONALE PUBLIÉE VOIX DE L'EXTRÊME POÉSIE ET CULTURE ÉDITÉE PAR LA MAISON D'ÉDITION "AU MBONGUI" Un compagnonnage poétique pour le Printemps des Poètes de 28 POÉTESSES / POÈTES /PEINTRES/GRAVEUSES/SCULPTRICE de différentes origines : française, espagnole, polynésienne, tunisienne, algérienne, congolaise, italienne... SOMMAIRE Présentation« Des frontières et des Hommes » Manuela Parra (p.5) Hommage à André Bonafos (p.7) « La poésie, chemin de fraternité » Frédéric Fautrier (p.15) Flora Aurima Devatine (p.19) Anne Vocanson (p.23) Gilles Cherbut (p.31) Antonio Orihuela (p.37) Manuela Parra (p.41) Rafael Calero Palma (p.49) Frédéric Fautrier (p.57) Janine Delpeuch (p.65) Marcel Camill’ (p.73) Ida Jaroschek (p.81) Gaëlle Fonlupt (p.89) Aurora Velez Garcia (p.97) Juliette Massat (p.105) Claire Musiol (p.113) Amalia Garcia Fuertes (p.121) Ali Sghaier Harabi (p.125)
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S UCCESSIONS D'OUBLIS OU LE PASSÉ RENOUVELÉ 1939/2023 Poème et gravure Manuela Parra Faut-il conjuguer le verbe « oublier » ? Faut-il effacer des mémoires les tragiques histoires ? Faut-il détourner les regards, sauter les pages, éviter les mots ? Faut-il nier ou renier se taire et oublier ? Faut-il emprunter le chemin du silence et poursuivre ainsi une vie de non-dits ? Courage, il faut du courage pour renommer l’innommable pour réveiller des silences pour bousculer l’indifférence pour s’acharner sur l’indécence pour éviter la chute de cette lutte dans l’oubli.
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ANTONIO MACHADO El crimen fue en Granada A Federico Garcia Lorca El crimen fue en Granada A Federico Garcia Lorca. I. El crimen Se le vio, caminando entre fusiles, poruna calle larga, salir al campo frío, aún con estrellas, de la madrugada. Mataron a Federico cuando la luzasomaba. El pelotón de verdugos no osó mirarle la cara. Todoscerraron los ojos; rezaron: ¡ni Dios te salva! Muertocayó Federico -sangre en la frente y plomo en las entrañas-. ...Que fue en Granada el crimen, sabed -¡pobre Granada!-, en su Granada...
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Conférence " Vie et oeuvre de Maria Casarès" par Manuela Parra Ateneo du Narbonnais Saint Marcel sur Aude Un moment de partage intense autour de la vie et l'œuvre de Maria Casarès le 4 février devant un public nombreux. LECTURE Texte extrait de Résidente Privilégiée Fayard (Maria Casarès) " Je crois que je voulais toujours être digne de....Comme quand j'étais petite. Mais je ne sais plus au juste de quoi. De mon père ? De l'Espagne ? De moi-même et mes racines ? De vivre ? De vivre ! Oui ! J'appartiens peut-être à une génération difficile à classer dans un lieu ou un temps précis, une génération qui vient d'ailleurs, en France ou plutôt qui vient d'ailleurs partout où elle se trouve, l'éternel troupeau d'émigrants ou d'exilés, et il leur faut se rendre dignes de vivre... Mais il nous fallait mériter de vivre ; et pour cela, tout refaire, tout recommencer, jusqu'à l'alphabet qu'il nous