4e Rencontres franco-espagnoles Isaías Griñolo cinéaste artiste visuel espagnol PROJECTION AUSCHWITZ ON THE BEACH "Quand on parle à un Européen, on parle à un conflit, à quelqu'un qui essaye de vivre, qui est en train de vivre qui essaie de vivre, qui est effacé et redessiné. Chaque Européen en porte un autre en lui. Celui qu'il fuit, le "moi de l'ombre", celui qui vit dans le mépris, dont nous avons honte". (L'agonie de l'Europe, Maria Zambrano). LECTURE DE LA LETTRE OUVERTE DE MIMMO LUCANO ANCIEN MAIRE DE RIACE EN CALABRE PAR CLARE HART PROJECTION AUSCHWITZ ON THE BEACH En présence de Isaías Griñolo, Artiste visuel, cinéaste, chercheur et commissaire d'exposition et d' ANTONIO ORIHUELA Poète, écrivain, essayiste, journaliste, docteur en histoire de l’Université de Séville, Le film AUSCHWITZ ON THE BEACH fait partie du projet AVALANCHA, repenser l'Europe depuis l
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LE 29 NOVEMBRE MONTPELLIER 18 H GAZETTE CAFÉ 6 Rue levat LES ÉCRIVAINS ENGAGÉS DANS LA GUERRE D’ESPAGNE (1936-1939) Pierre Berlan Dans le cadre des 4e Rencontres franco-espagnoles CULTURE ENGAGEMENT ET RÉSITANCE D ès le début de la guerre d'Espagne en 1936, de nombreux écrivains prennent fait et cause pour la défense de la République espagnole au nom de l'antifascisme, de la défense des libertés et de la démocratie. Certains d'entre eux se rendent en Espagne combattre les armes à la main, tels André Malraux à la tête de l'escadrille España , Simone Weil, ou George Orwell. Beaucoup prennent aussi leur plume pour dénoncer le coup d’ État tels Machado, Camus ou Hemingway. Ces écrivains sont divisés entre pacifistes et interventionnistes, communistes staliniens et révolutionnaires ce qui empêche leur unité et annonce à terme la défaite du camp républicain. Dans ce conflit, prélude de la Seconde Guerre Mondiale, les écri
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EXPOSITION SUR LES PAS DE MANOLO VALIENTE LE 28 NOVEMBRE 18H salle d'exposition du Lycée jules Guesde accès par 119 avenue de Lodève LORS DE L'INAUGURATION DES 4e RENCONTRES FRANCO-ESPAGNOLES Manolo Valiente est né en 1908 dans une famille pauvre du quartier populaire de la Macarena à Séville. Son père meurt quand il a 8 ans. Il part avec sa mère et son frère s’installer à Moron de la Frontera à 60 km de Séville. Puis sa famille l’envoie à quelques kilomètres vivre dans une ferme pour garder des porcs. La soif d’apprendre Malgré la nostalgie de la rupture familiale, il apprend et puise à la campagne les ingrédients de son amour pour la nature. De retour à Moron de la Frontera à l’âge de 13 ans, il devient apprenti dans l’atelier d’un sculpteur sur bois. En 1929, il s’installe à Séville et travaille dans des ateliers de sculptu
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LE 28 NOVEMBRE À MONTPELLIER L’ART DANS LES CAMPS - POÉSIE ET ENGAGEMENT FILM D’ANIMATION ET RÉSISTANCE Dans le cadre des 4e Rencontres franco-espagnoles En partenariat avec le lycée Jules Guesde Réservé aux lycéens avec les classes du lycée Jules Guesde, Albert Camus de Nîmes Internat d'excellence Françoise Combes Montpelli er 9 H - 30 « L’ART DANS LE CAMPS, OEUVRES ET MESSAGES » Par Manuela Parra, Présidente de l’association Voix de l’extrême Poésie et Culture Présentation commentée des œuvres réalisées dans des camps par des réfugiés espagnols internés dans les camps dans le sud de la France. Longtemps passées sous silence ce patrimoine apporte un témoignage sur les conditions d’internements des républicains espagnols ou leur a permis de survivre et parfois de sortir des camp s… "Dans son recueil « Arena y Viento », Manolo Valiente nous livre ses gravures et ses poèmes, French Clapers peint et écrit un journal du camp, Josep Bartoli dessine la bruta
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4e RENCONTRES FRANCO-ESPAGNOLES Culture Engagement et Résistance Poésie littérature cinéma art et art dans les camps DU 28 NOVEMBRE AU 2 DÉCEMBRE MONPELLIER " La devise de la République doit être : la Culture ! La culture, parce que ce n'est qu'à travers elle que peuvent se résoudre les problèmes auxquels se confronte aujourd'hui le peuple plein de foi mais privé de lumière. N'oubliez pas que l'origine de tout est la lumière . " Allocution de Federico García Lorca lors de l’inauguration de la bibliothèque de Fuente Vaqueros Comment ne pas succomber à l’émotion du cri de Federico García Lorca ou de celui d’Antonio Machado face à l’assassinat de son ami : « El crimen fue en Granada … en su Granada » ? Ou devant les témoignages culturels d’artistes, poètes, écrivains engagés dans le conflit de la guerre d’Espagne, comme ceux de Malraux, Camus, Rafael Alberti, Miguel Hernandez…et bien d’autres ? Comment ne pas saluer l’engagement de Picas